Présenté en salle uniquement

À 95 ans, Fernand Dansereau, cinéaste, producteur, et scénariste, continue d’explorer les grandes questions de l’existence : le sens de la vie, la spiritualité au-delà de la foi, la peur de la mort et l’avenir de l’humanité. Dans ce documentaire intime, il partage la sagesse née de son long parcours, tout en invitant d’autres voix à l’accompagner dans cette quête de sens, pour aller toujours plus loin.
Avec la participation de Janette BertrandGuy RocherDenys ArcandMarcel SabourinFrancine BeaudryJoséphine BaconMicheline LanctôtLucette Lupien.

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Galerie photos @Lise Breton FIFA QUÉBEC 2025-2024-2023 https://www.flickr.com/photos/48796411@N07/albums/72177720306792520

Fernand Dansereau

Fernand Dansereau est un cinéaste, scénariste et producteur québécois dont l’œuvre a profondément marqué le cinéma et la télévision. Après une première expérience comme chroniqueur syndical au Devoir, il rejoint l’Office national du film (ONF) en 1955, où il joue un rôle clé dans la révolution du cinéma direct. En tant que producteur, il soutient des films fondateurs comme Pour la suite du monde (1963) et Golden Gloves (1961). En tant que réalisateur, il remporte de nombreux prix internationaux, notamment pour Alfred J… (1957), primé à Vienne, et La Canne à pêche (1959), qui obtient le premier prix à Monaco.

Dans les années 1970, il fonde le groupe In-Media et réalise des films comme Faut aller parmi le monde pour le savoir (1972), sélectionné à Cannes, et Simple histoire d’amours (1973). Il s’engage également dans des projets télévisés marquants, comme Les filles de Caleb (1991), récompensé par un prix Gémeaux, et Le Parc des braves (1987).

Dans les années 2000, il réalise des documentaires tels que L’Autre côté de la lune (1995) et Les porteurs d’espoir (2009). Son dernier film, Le vieil âge et l’espérance (2019), poursuit son exploration du vieillissement. Toujours actif, il poursuit ses projets créatifs tout en étant un défenseur de l’industrie cinématographique québécoise.

Notes biographiques fournies par l’équipe de film

Quelques films :
Le vieil âge et l’espérance (2019)
L’érotisme et le vieil âge (2017)
Le vieil âge et le rire (2012)
Les porteurs d’espoir (2010)
La Brunante (2007)

On peut souhaiter à M, Dansereau un joyeux anniversaire le 5 Avril prochain pour son 97e anniversaire et lui souhaiter de continuer ses passions de peintre et de réalisation cinématographique

Affiche Erik Satie, entre les notes

Dans ce documentaire sur Érik Satie , on suit son parcours musical de façon chronologique avec des personnes ayant apprécié sa musique de compositeur. Professeure de musique, pianiste, musicienne, compositrice, musicologue, Jean Cocteau Chacun à leur façon ont su décrire ses compositions avec des titres très loufoques comme Ouvrez la tête, les poires

Sa grande tristesse suite à sa rupture avec son amoureuse artiste peintre et graveuse française Suzane Valadon, seule relation intime connue du musicien qui laisse Érik Satie dans une froide solitude;

Il compose Vexations et en tête de partition il a écrit Note de l’auteur / Pour se jouer 840fois de suite ce motif, il sera bon de se préparer au préalable, et dans le plus grand silence , par des immobilités sérieuses.

Arcueil (commune française) en juillet 1925, le corps d’Erik Satie, compositeur et pianiste français, est retrouvé dans son appartement dans un état de désordre et de misère. Tout au long de sa vie, il fut un artiste mal aimé, rejeté par les institutions officielles de son époque, en raison de ses extravagances et de son « esthétique de la pauvreté ». Pourtant, Satie a su créer une musique à la fois simple et radicale, qui annonce les grands courants du XXe siècle.

À travers des archives et des témoignages, ce documentaire retrace le parcours d’un compositeur qui, en refusant toute appartenance à une école musicale, s’est imposé comme un pionnier de la modernité. Collaborateur de Picasso, peintre espagnol, Cocteau, poète et peintre et Duchamp, peintre, plasticien, il bouleversa les conventions musicales de son temps.

Autre festival :
FIPADOC, France (2025)

Crédit photos Lise Breton