Clemens Schuldt – à la barre des deux derniers concerts

de la saison de l’Orchestre – tisse deux soirées où la musique devient langage du voyage, avec des œuvres qui nous plongent dans des récits imprégnés d’histoire et de folklore. Du souffle dramatique de Weinberg à la fougue de Khatchatourian, en passant par les danses vivantes de

Dvořák, le premier concert évoque les paysages d’Europe de l’Est, avec Nemanja Radulović qui interprète le spectaculaire Concerto pour violon de Khatchatourian. Quant au concert de clôture, il sera porté par la voix de María Toledo, le nouveau visage du flamenco contemporain, et explorera les couleurs de l’Espagne et les contes de l’Orient.

RADULOVIC ET SCHULDT VOUS FONT DANSER

Alors que Nemanja vous envoûte

Mercredi 7 mai 2025 à 20 h

Salle Raoul-Jobin – Palais Montcalm

Clemens Schuldt dirige un répertoire pénétrant l’âme musicale de l’Europe de l’Est : pour débuter le voyage, la Rhapsodie sur les thèmes moldaves de Weinberg aussi expressive que rare, oscille entre mélancolie et lumière. Suivra le Concerto pour violon de Khatchatourian – reflet de l’intensité arménienne – porté par l’éblouissant Nemanja Radulović. Et pour finir, l’élan joyeux de Dvořák qui déploie toute sa vivacité dans sa Sixième symphonie, avec son irrésistible « furiant », célébrant la danse et le souffle populaire de la musique tchèque.

Clemens Schuldt chef

Nemanja Radulović violon

Weinberg Rhapsodie sur des thèmes moldaves

Khatchatourian Concerto pour violon

Dvořák Symphonie n° 6

UN CONCERT DE CLÔTURE HAUT EN COULEUR

¡FLAMENCO!

La fiesta espagnole de María Toledo

Mercredi 28 mai 2025 à 20 h

Jeudi 29 mai 2025 à 10 h 30

Grand Théâtre de Québec

Au programme, trois œuvres éclatantes aux accents ibériques et orientaux : España de

Chabrier ouvre la soirée avec panache : pleine de vitalité, cette œuvre fera de son auteur un compositeur célèbre dans le monde entier! Puis María Toledo, étoile du flamenco, prêtera sa voix à l’envoûtante Amour sorcier de Manuel de Falla, inspiré de véritables contes et chants gitans. Enfin, l’Orchestre rencontre l’univers féerique de Shéhérazade, où l’Orient prend vie au fil des récits ensorcelants. Orchestrateur de génie, Rimski-Korsakov invite à un voyage saturé de couleurs, toutes plus chatoyantes les unes que les autres.