Un spectacle de vie sur l’humain derrière notre folklore de la gigue. Très belle mise en scène avec les enregistrements comme des interviews sur des gens qui ont mis la gigue dans leur vie, car ça leur fait du bien. Ce ne sont pas des acteurs et pourtant, ils ont réussi à remplir la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre à plus d’une reprise.
Ce spectacle offre aussi de beaux moments de danse et des histoires sincères, pas toujours drôles, certains miracles de vie aussi. À l’aide d’écran géant et de visuel, on a pu suivre l’histoire de gens significatifs et différents. Des histoires intéressantes, bouleversantes et diversifiées.
Galerie Photos @Lise Breton Pas Perdus au Grand Théâtre de Québec 22 juin 2024
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On y apprend que la danse est une belle façon de s’exprimer, souvent elle cache une rébellion, une façon de s’exprimer. La danse est un langage universel, une belle façon de fêter et de se défouler.
Ce spectacle nous donne le goût de crier haut et fort notre histoire et se réapproprier notre folklore québécois. Ne pas perdre notre culture, continuez à danser.
La musique pour accompagner les danseurs est toujours de mise.
Ce spectacle a été difficile à réaliser et a demandé un travail colossal de recherches, de patience et de persévérance. Les personnes sur scène nous ont ouvert leur intimité et nous ont redonné le goût de danser. Merci pour votre générosité.
Une discussion avec Anaïs Barbeau-Lavalette et Émile Proulx-Cloutier a suivi après la représentation
Une spectatrice nous a informé que la gigue était encore très vivante à Québec, qu’il y avait 25 festivals au Québec par année et que le mardi soir au Salon Edgar, on pouvait danser la gigue.
Également présenté au Théâtre Maisonneuve à Montréal du 6 au 9 mars 2025
Crédit photos : Lise Breton