Un peu plus d’un mois après la parution de On prendra de l’avance plus tard, premier extrait de leur album à paraître en août, Apophis nous revient avec D’Argenson, chanson chantée cette fois par Cédric Martel, l’autre frère du groupe. Dans un esprit plus slacker que la première chanson, D’Argenson raconte la ronde des cent pas faits dans la ruelle derrière le studio, le temps toujours plus difficile à tuer quand il faut attendre son homme et la courte délivrance qui vient avec. « Bonne est la cigarette, sur D’Argenson » chante nonchalamment Cédric sur un fond de guitares aquatiques, propulsé par la batterie brute de PE Beaudoin. Réalisée par Alexandre Martel et mixée par Jean-Bruno Pinard, D’Argenson se veut le contrepoint tragico-quotidien d’un album ironiquement fait à frette et dans la joie. Découvrez D’Argenson dès maintenant en attendant la sortie de leur premier album le 27 août prochain. |
À PROPOS D’APOPHIS
À l’image d’Apophis qui meurt pour que la lumière triomphe, c’est un deuil qui est à l’origine de ce nouveau groupe issu de la scène de Québec. Un deuil, une crise qui, comme le veut la langue nippone, est à la fois une juste mesure du danger et une opportunité de mieux faire les choses.
Formé des jeunes vétérans de la scène de la capitale que sont le batteur Pierre-Emmanuel Beaudoin, le bassiste Cédric Martel et le réalisateur et guitariste Alexandre Martel, que l’on a pu voir entre autres aux côtés d’Hubert Lenoir, Keith Kouna, Tire le Coyote, Gabrielle Shonk, Lou-Adriane Cassidy, Ariane Roy, Alex Burger, Thierry Larose et Lumière, Apophis, malgré les consonances maléfiques de son nom, est un groupe d’adultes bien rangés dans la vie familiale pour qui la musique est une joie à partager au quotidien.
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