Khawal – Le privilège de la beauté

[ya khawal !] s’exclamait la grand-mère de Nour, sa téta. Une expression usuelle dans leur communauté égyptienne copte, bien qu’elle signifie « ma tapette ». À travers l’apprentissage de la langue de sa famille paternelle, l’autaire découvre que cette expression réfère aussi à des danseurs habillés « en femme » sous l’occupation ottomane au 19e… Poursuivre la lecture Khawal – Le privilège de la beauté

Sorties printanières (Véganisme, Guy Delisle et poésie)

(V)égaux. Vers un véganisme intersectionnel (Éditions Somme Toute) Véganes, féministes, antiracistes, activistes queers et autres militant.es pour la justice sociale ne luttent-iels pas toustes pour cet idéal commun qu’est la fin de l’oppression des êtres sensibles ? Si cela semble tomber sous le sens, cette convergence et cette cohésion sont aujourd’hui réfutées par plusieurs, voire carrément… Poursuivre la lecture Sorties printanières (Véganisme, Guy Delisle et poésie)

Quadruple parution (Éditions Somme Toute/HAMAC)

POUR QUE TU MÈMES ENCORE Penser nos identités au prisme des mèmes numériques Phénomène socioculturel protéiforme, les mèmes tels que nous les déployons dans le cadre de nos échanges en ligne se démultiplient, se disséminent et se réinventent au point de caractériser ce qu’il est désormais convenu d’appeler notre « condition numérique ». De leur… Poursuivre la lecture Quadruple parution (Éditions Somme Toute/HAMAC)

Colle-moi (Véronique Grenier / La Courte Échelle)

Dans Colle-moi, on suit les réflexions d’un jeune garçon dont les parents se sont séparés. Désespérément à la recherche du lien familial perdu, l’enfant partage des états d’âme nuancés, riches. On y reconnaitra l’écriture franche et sensible de Véronique Grenier (Hiroshimoi, Chenous, Carnet de parc) qui n’hésite pas à décortiquer les émotions au moyen d’images étonnantes… Poursuivre la lecture Colle-moi (Véronique Grenier / La Courte Échelle)

Mourir m’arrive (Fernand Durepos) – L’Écrou

Sauvage, vulnérable et lucide, la poésie de Fernand Durepos cisaille quelque part entre la coupe à blanc et l’orfèvrerie, rêve de brillant et de sombre, d’amour, de tout ce dont celui-ci est capable, tant par ses beautés que par ses ombres. ** Ré-édition du travail publié en 2004 par les éditions de l’Hexagone, Mourir m’arrive… Poursuivre la lecture Mourir m’arrive (Fernand Durepos) – L’Écrou

Perruche – Virginie Beauregard D. (La courte échelle)

Un garçon aussi brave que fragile, ses parents pas toujours contents, et un accident : Cœur-Coquin, son oiseau, s’échappe de la maison. Les poèmes de Perruche en capturent le chagrin, tout en montrant le bonheur de rêver et d’être libre. ** Paru en même temps que Peigner le feu (Jean-Christophe Réhel), Perruche est une autre très… Poursuivre la lecture Perruche – Virginie Beauregard D. (La courte échelle)

Peigner le feu – Jean-Christophe Réhel (La courte échelle)

La première année au secondaire, la jungle, l’amour du coin de l’œil, les lunchs dans des sacs en plastique : Peigner le feu met des mots sur le trouble qui surgit quand il faut réapprivoiser ce qui nous entoure. ** De la difficulté d’éclore. S’il y a bien un moment marquant, voir douloureux pour beaucoup… Poursuivre la lecture Peigner le feu – Jean-Christophe Réhel (La courte échelle)

Couleur de l’âme – Mario Cyr (Annika Parance Éditeur)

Quand la mort côtoie l’enfance qui nous traverse d’un bout à l’autre, à quoi assistons-nous ? Voici des miracles ordinaires, des vertiges, des bonheurs fugaces qui réclament une parole. Voici l’aube fabuleuse, et une jeunesse qui ne cesse de fleurir, là même où on ne l’espérait plus. C’est un regard sur le petit, l’humble. L’imparfait. L’éphémère.… Poursuivre la lecture Couleur de l’âme – Mario Cyr (Annika Parance Éditeur)

Trois chambres sans lit – Del Busso

Depuis que tu l’as revu, la honte est revenue. Elle le sait. Tu lui mens. Je te l’ai dit, tu ne le connais pas. C’est un vieil ami. Il était de passage en ville, il m’a textée pour aller boire un verre, j’ai dit oui, c’est tout. C’est en t’éloignant que tu trouves la force… Poursuivre la lecture Trois chambres sans lit – Del Busso

Fuck you (Daniel Leblanc Poirier) + Le tendon et l’os (Anne-Marie Desmeules)

Fuck you (Daniel Leblanc Poirier)

Fuck you poursuit le projet poétique entamé avec 911. Si le premier temps de cette trilogie était celui d’un appel à l’aide, le deuxième marque la révolte du narrateur devant l’impossibilité d’entrer en relation avec l’autre, dans un ménage à trois où les opioïdes assurent la fonction sentimentale. ** Après l’acclamé 911, Daniel Leblanc Poirier… Poursuivre la lecture Fuck you (Daniel Leblanc Poirier) + Le tendon et l’os (Anne-Marie Desmeules)

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